
D’un homme j’ai besoin (parfois)
En ce dimanche 21 août, la canicule s’est abattue sur ma ville et tout le monde est à la piscine ou à la mer. Sauf moi, je me suis enfermée chez moi et je glandouille sur le PC. Et je regarde Google Analytics qui me dit que tout le monde est dehors et qu’ils en

De ma vie dans une bulle
Dans le billet du jour, je ne vais ni refaire le monde, ni baver sur la société, ni parler de geekeries. Je suis totalement hors ligne éditoriale, mais OSEF. Il y a quelques années, je suis partie étudier un semestre à l’étranger. Ces 6 mois étaient passés comme une semaine. La ville où j’étais est

De ma sortie en club libertin
Alors que nous glandions devant le PC sans intention aucune un samedi soir, me vint une idée qui m’a parue intéressante, du moins suffisamment pour que j’en fasse part à M. Geekette : et si nous allions faire un tour en club échangiste voir ce qu’il s’y tramait?

Mon avenir par SMS
Il y a des jours comme ça où tu te poses des questions existentielles, du style « et s’il existait des dimensions parallèles? », « et si les gouvernements mondiaux nous mentaient? », « qu’est ce que je peux bien faire comme connerie aujourd’hui? », « Armstrong a-t-il vraiment marché sur la lune? ».

De la fin de ma double vie secrète
Vivre dans le secret, c’est excitant, mais comme toutes les relations secrètes, au bout d’un moment, on a de plus en plus d’assurance et c’est là qu’on risque de se faire piquer. Puis passés les premiers mois, je trouve que l’effervescence du secret retombe un peu. J’ai donc mis fin à ma double vie ce weekend.

Analyse profonde de la presse féminine
Je préviens : aujourd’hui je suis mal lunée. Je suis partie de chez moi avec ma jupette il s’est mis à flotter alors que je n’avais pas fait 50 mètres, comme j’étais en retard je n’ai pas eu le temps de remonter mettre un jean; puis WordPress n’a conservé qu’une partie de ce billet que j’avais écrit hier soir, il m’a juste gardé les tags, l’image et les textes SEO et quelques phrases écrites hier dans le métro. Putain. J’ai juste envie de tout envoyer en l’air, tout m’emmerde. Je réécris quand même cet article de blog parce 1/ j’ai que ça à foutre (enfin, façon de parler) 2/ je me sens inspirée malgré tout.
Nous (enfin surtout moi) allons aujourd’hui parler des torchons de la presse féminine. Le fait que je sois de mauvais poil n’altère pas mon jugement sur ces revues. Même quand je suis dans un bon jour je n’aime pas ces magazines.
Rapide état des lieux :

Capotes nervurées : la grosse arnaque
Tout est dans le titre.
J’ai d’abord eu envie de stopper le billet là, après tout, tout était dit. Mais comme je blogue anonymement, je peux raconter comment j’en suis arrivée à ce constat. Je me doute que vous vous en foutez sûrement, mais je raconte quand même.